Charme d’antan
Paris, Saint Germain des Prés, la mariée enfila une robe au dos nu plongeant, puis un gilet de dentelle afin de rester dans la suggestion. Une fois prête, elle parti pour l’église St Sulpice, dans une magnifique Jaguar XJ (celle du Premier ministre britannique !!!). C’est sur le final du 10e concerto de GF. Haendel que la mariée s’avança au bras de son père et s’installa au côté se son futur époux. Com’une Orchidée avait décoré la sacristie de roses blanches, simples et chics, ainsi que de grandes compositions florales à l’entrée. Des livrets de cérémonie avaient été déposés par les organisatrices juste avant la cérémonie. La sortie des mariés se fit sous une pluie de pétales de roses blanches, sur un concerto en la mineur de JS. Bach.
Les mariés ont ensuite rejoint leurs invités pour le cocktail, au Bouillon Racine, une immersion dans le Paris d’autrefois. C’est dans les salons du Château de Nandy, que les convives et les mariés passèrent la soirée. Décorés avec soin, ils étaient habillés de chaises napoléon III noir. Un trio de bougeoirs cèdre ainsi que des ronds de serviettes agrémentaient l’art de la table. Un duo de vases d’orchidées et pois de senteur dans les tons rouges, trônait en centre de table. Posés discrètement sur la table, les cadeaux invités : des dragées de Verdun (clin d’œil à la région du marié) dans une boite métallique très rétro. Com’une Orchidée avait confectionné chaque menu et nom de table (sommets savoyards, clin d’œil à la région de la mariée), de manière originale. Les invités accueillirent les mariés sur « Best of my love » de The Emotions et purent déguster le succulent menu d’un Traiteur de France. Pour le dessert, une pyramide de macarons arriva triomphalement sur un titre de Martin Solveig, la soirée pu commencer…
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